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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 13:14

;-)

 

 

Se faire voyant!... Certes... On hésite tout de même quand tant de voyants sont au rouge. Au gros et qui tache. Et leur page blanche ne l’est pas que de poudre aux yeux. De la blanche.

Ne sont-ils pas déjà assez voyants ceux qui ne ratent pas une occasion de se faire remarquer...

 

On peut bien perdre la mémoire puisque tout revient toujours pareil tout le temps. Amnésiques! le nouveau au moins nous semble neuf.

 

UNTEL,  ACTUEL

Il est très commun d'entendre ce reproche envers les "intellectuels": il prennent leurs idées dans les livres. 

Leurs contempteurs - comment les appeler? des extellectuels? - Les extellectuels donc, eux, ont des idées qui leur viennent « naturellement »?..

 

Parmi les faits que certains avancent pour abaisser le caquet de l’Occident, il y a celui que bien des sociétés anciennes disposeraient et depuis bien longtemps d’herboristeries bien plus fournies que les nôtres.

À croire que nous n’avons été bons qu’à bouffer du foin.

 

La photo a apporté cette révélation: que pour la beauté, le hasard fait parfois mieux que la maîtrise.

 

" Guerre à la guerre " tonnent les pacifistes.

" Guerre, à la guerre! " tonitruent les bellicistes.

 

Noyer le poisson, soit. Mais pas lâcher lamproie pour omble...

 

Son allure dit beaucoup, sinon trot.

 

L’inventaire se fait passer pour invention.

 

Trouver sa place: c’est le souci, avant la prise de vue, du photographe .

 

La question n’est pas là, dites-vous? Mais quand reviendra-t-elle? Devons nous attendre son retour?

Pour l’aborder peut-être est-ce vous qui n’êtes pas à la bonne place? Allez la chercher, faîtes la entrer, on vous demande que de faire le portier.

 

C’est de la question que nous tenons que la question se pose.

 

Prendre quelqu’un en otage de ses propres principes, c’est aussi un terrorisme.

 

Pour reconnaître dans le nouveau le retour du mal ancien, il faut ne pas avoir perdu ni vendu sa mémoire et, si l’on est jeune, ne pas avoir révoqué la culture.

 

Être démodé, c’est être comme tout le monde d’hier. Être à la mode c’est être d’aujourd’hui. Comme tout le monde aujourd’hui.

 

On en hurle jamais qu’avec des loups. Se faire hurlement à son tour c’est prêter sa voix à la cruauté 

 

Si c’est la volonté qui accouche de l’avenir, alors la volonté de tant de gens aujourd’hui de se ranger parmi des victimes augure mal du futur.

 

L'Occident - latinité et chrétienté - est maintenant aux Amériques. Et l’Europe, délestée, penche étourdiment vers l'Orient.

 

La charge de la preuve appartient à l’accusation, pas à la rumeur 

Est-ce le respect du secret de ses sources qui inspire le journaliste quand il interroge: « On dit… on prétend … ». L’interviouvé serait en droit de demander: « Qui est « on », dites et je lui répondrai?

 

À l’écran on nous présente le monde quadrangulé. Comme un poisson pané.

 

Quand on n’y est pas allé voir, ce qu’on raconte, c’est des racontars.

 

De l’ évidement nait le centre, de l’évitement la circonférence.

 

L’échelle des valeurs tient davantage le mur qu’elle n’est posée contre.

 

Où va le penne rien ne gâche.

 

L’homme n’est pas conditionné mais positionné.

 

Faire de l’Art avec de l’inculture, il n’y faut que de la ruse.

 

On prête à beaucoup un génie d’artistes qui ne faisaient oeuvre que d’artificiers.

 

Faire du dol art?

 

Qui cherche trouve le bonheur de chercher.

 

Tout oeuvre est autobiographique bien sûr: en cela que sa création a été un moment la vie de son auteur.

 

Nous n’aimons rien tant que que de mettre du bonheur dans la beauté.

 

Nous avons autant de vies que de maisons.

 

La culture c’est cela que nous avons en commun et nous fait nous reconnaître.

 

 

 

 

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